- Lambeaux ou la pleine expression de SamplTV.

On a vu que Lambeaux1) est une installation vidéo, qui reprend les principes de base de SamplTV. Ainsi, comme elle, Lambeaux a pour particularité de remixer le flux télévisuel en direct. Le flux est considéré ici en tant que potentiel d’images, de mouvements et de signes. Le processus numérique extrait, de façon automatisée et en temps réel, toutes les parties en mouvement des images lors de la diffusion d’une émission télévisuelle. Le flux télévisuel est donc utilisé comme une matière brute en renouvellement permanent, qui me permet de proposer une œuvre ouverte aux multiples possibles. Les fragments capturés sont redistribués ensuite de façon spatio-temporelle sur une boucle de vingt-cinq images. Cette boucle est ensuite diffusée, image par image, à la fréquence de vingt-cinq images par seconde.

À la différence de SamplTV, mon ordinateur dispose aujourd’hui d’une puissance de calcul suffisante pour éviter tout décalage dans le traitement automatisé en temps réel du processus. Le dispositif de Lambeaux peut désormais rendre compte ici finement des différences de mouvement avec une précision de l’ordre du pixel, alors que, dans SamplTV, les fragments, -des portions rectangulaires d’images-, étaient de taille beaucoup plus grande.

Figure 88. Lambeaux – The Shining (BOILLOT, Nicolas, 2012)

Ces micros fragments éphémères, sans cesse renouvelés, renvoient, comme dans SamplTV, à un palimpseste visuel polysémique. Mais ici, l’accumulation s’insinue à l’intérieur des contours des images passées et l’agencement des différents pixels en temps réel produit une image très échancrée aux effets irréels : une mémoire fantomatique du flux vidéo, un palimpseste coloré, où cohabitent des fragments de mouvements et de temps beaucoup plus perturbés et lacérés que dans le cas de SamplTV. Mais, a contrario de SamplTV, dans Lambeaux, le spectateur ne peut plus intervenir sur l’expression de l’œuvre. Il se trouve confronté à un univers esthétique étrange, saturé, hyperfragmenté, fait de bribes de signifiants qui sollicitent beaucoup plus son imaginaire personnel. Je noterai d’ailleurs que je ne diffuse pas la bande sonore issue de la chaîne de télévision à l’inverse de SamplTV. En effet, j’ai remarqué que le son issu de l’émission de télévision était une « béquille » pour le spectateur. Il l’aide à comprendre ce qu’il est en train de voir. Il me semblait donc, préférable de ne pas diffuser la bande-son pour augmenter la capacité interprétative du spectateur.

Figure 89. Lambeaux Publicité (BOILLOT, Nicolas, 2012)

En résumé, Lambeaux manifeste encore en grande partie toutes les propriétés de SamplTV. L’œuvre est ouverte, les temporalités plurielles. Elle reste un remix réflexif, à portée critique. En revanche, le détournement est plus complexe, plus affirmé ; l’expression de l’œuvre plus forte. Je noterai que l’interactivité avec le spectateur n’existe plus, ce qui est le signe d’une évolution qui s’affirmera avec les autres œuvres de la série. Au final, par rapport aux trois nouvelles intentions posées en avant-propos, on voit bien que Lambeaux active surtout la première : soit envisager la pleine expression de SamplTV.

- Un nouveau langage de programmation pour des potentialités inédites

La création de Lambeaux résulte surtout de l’évolution du dispositif numérique. Sa partie hardware reste inchangée : un ordinateur et une carte tuner TV permettent de créer le lien entre les ondes hertziennes locales et leur conversion et manipulation numériques en temps réel. En revanche, pour la partie software, j’ai adopté un nouveau langage de programmation textuelle : Openframeworks. L’état de la question théorique a montré qu’Openframeworks participe à la démocratisation des outils de création numérique et qu’il permet à des artistes d’écrire plus facilement dans le langage Cplusplus, notamment par la simplification du vocabulaire à employer et du nombre de mots à écrire. En effet, le langage Cplusplus est très utilisé, mais difficile à manier. On le retrouve majoritairement, depuis les années 1990, dans la plupart des logiciels grand public par exemple Microsoft Word ou Adobe Photoshop. Un des avantages du langage Cplusplus est que les applications créées avec ce langage de programmation peuvent être compilées pour plusieurs systèmes d’exploitation différents (Windows, Macintosh, Linux) et être très performantes2). Il est aussi possible, en utilisant ce langage, de définir à l’écrit des processus complexes. Mais, en contrepartie, on l’a dit, écrire en Cplusplus s’avère difficile. Il est nécessaire d’avoir au préalable des notions poussées de programmation pour pouvoir l’utiliser correctement. Je me suis donc inspiré des travaux de Jonathan Mazal, qui était intervenu en 2004 à mes côtés et avait créé le nouveau bloc « SamplTV » dans Eyesweb (un bloc dans Eyesweb3) étant une fonction Cplusplus encapsulée). Mon idée est de faire évoluer le dispositif de SamplTV en utilisant cette fonction comme « base » pour transposer le bloc « SamplTV » dans Openframeworks. Cela a exigé un travail personnel conséquent et compliqué, même si j’ai personnellement progressé dans le domaine de la programmation textuelle. Mais le fait d’utiliser Openframeworks me permet de tirer avantage des nouvelles potentialités offertes, notamment, la rapidité du langage Cplusplus dans l’exécution des calculs. Je noterai aussi que celles-ci sont d’autant plus accrues, que les capacités de calcul d’un ordinateur de 2011 n’ont plus rien à voir avec la situation de 2004. Au final, je peux désormais analyser et extraire la totalité des pixels des parties d’image ayant changé au cours du temps ; alors que dans SamplTV, le dispositif ne permettait qu’un nombre limité de captations et une délimitation grossière des fragments, sous la forme de zones rectangulaires d’images.

Les nouvelles potentialités du dispositif modifient considérablement les images obtenues. Dans Lambeaux, on l’a vu, le détournement est plus vif, plus saturé, acéré, pointilliste et l’expression de l’œuvre est plus ouverte. J’atteins donc ici ma première intention : favoriser la pleine expression du concept de SamplTV. Et pour l’instant, mon travail s’est surtout situé au niveau du dispositif numérique.

Figure 90. Lambeaux Publicité (BOILLOT, Nicolas, 2012)

Mais, l’évolution de Lambeaux ne s’arrête pas là. Mon questionnement sur le nouveau rapport au temps introduit par le numérique m’engage à lui adjoindre deux autres possibilités : la captation systématisée du détournement du flux ; et l’exposition d’un temps circulaire et démultiplié. - La captation systématisée du détournement du flux Dans SamplTV, l’œuvre est constamment inachevée, dépendante du flux télévisuel à l’instant T de l’exposition. Quand je capte des images fixes, c’est à des fins strictement personnelles, pour garder quelques archives du déroulement de l’œuvre. Cette captation ne fait pas partie du concept de l’œuvre. Dans Lambeaux, je décide de systématiser cette prise d’images et de temporalités. Elle fait partie du concept de l’œuvre. Je réalise des traces photographiques de l’installation, je prends des instantanés des flux captés (captures d’écran), et ce, au fur et à mesure des différentes étapes de conception de Lambeaux, ainsi que lors des différentes expositions de l’œuvre. Mais surtout, j’exploite les nouvelles potentialités d’Openframeworks et les nouvelles capacités de calcul de mon ordinateur pour créer une nouvelle fonctionnalité. Celle-ci permet de garder, à un instant T, la trace des flux captés sur la boucle complète de vingt-cinq images. Le nouveau dispositif conduit à diffuser ensuite ce flux, image par image, et de manière infinie. Cette boucle d’images « cristallise » (au sens de capturer de façon pérenne) l’instant donné du détournement et révèle l’accumulation éphémère des fragments très signifiants de sa proposition.

Figure 91. Lambeaux How TV ruined your life : Aspiration 25 images extraites de la boucle (BOILLOT, Nicolas, 2012)

- L’exposition d’un temps circulaire et démultiplié Je fais une deuxième modification du dispositif. La boucle, générée et exportée image par image, grâce à Openframeworks, va ensuite être encapsulée automatiquement dans un GIF. Ce format d’images animées va permettre d’avoir un rapide aperçu de ces fragments temporels et de diffuser facilement ces boucles sur le Web. J’ai expliqué, en effet, dans le chapitre II.c.ii, que le format GIF a été intégré au fil des années dans la quasi-totalité des navigateurs Internet disponibles. Le format GIF m’intéresse, dans la mesure où, à partir des années 2010, son universalité fait qu’il devient le format de prédilection d’une nouvelle forme d’expression visuelle, qui privilégie l’animation d’images en courte séquence diffusée en boucle. Au fur et à mesure de l’expérience éphémère induite par Lambeaux, je garde et j’expose, encapsulées dans des GIF, les traces des fragments en mouvement qui ont été récupérés et accumulés au cours du temps. Par rapport à une vidéo classique, ce principe de boucle réduit une action et/ou une narration à une répétition d’une même séquence de manière infinie.

Pour compléter ce dispositif, je crée, en 2013, une autre application : un lecteur vidéo Pinacotek,4) dans le but spécifique de diffuser en continu ces boucles à la temporalité circulaire. Sa fonction diaporama permet de diffuser une série de boucles, les unes après les autres, chacune ayant une période arbitrairement définie par le programme.

Figure 92. Pinacotek – Un lecteur multimédia pour exposer des GIF, vidéos, images (BOILLOT, Nicolas, 2013)

En résumé, l’utilisation d’Openframeworks offre de nouvelles potentialités au dispositif de création numérique de Lambeaux, notamment grâce au passage au format GIF. Et le nouveau rapport au temps de l’œuvre numérique, central dans tout mon travail, trouve ici une expression forte. Grâce à la systématisation et à la mise en visibilité du principe de boucle, je peux perturber la linéarité dans la narration et produire et exposer plusieurs temporalités. Par la conception de boucles sans coupure (c’est-à-dire sans variation importante dans l’évolution du contenu d’une image à une autre), je favorise l’expression d’une nouvelle narration en créant l’illusion d’une animation sans début ni fin, un peu à la manière d’un Zoetrope, l’un des premiers procédés d’animation inventés au 17e siècle. J’interroge ainsi un temps circulaire et démultiplié, qui sera aussi un marqueur important dans l’évolution de mon travail futur, comme on le verra dans Loops et Wall trope.

- La diffusion de l’œuvre : de l’installation vidéo au GIF

L’évolution du dispositif de création numérique ne sert pas seulement une intention. Elle a aussi un impact sur la diffusion de l’œuvre. Comme SamplTV, Lambeaux a été pensée pour être exposée sous la forme d’une installation vidéo dans un lieu physique d’exposition, afin de mettre en exergue la temporalité du spectateur, la temporalité du flux télévisuel et la temporalité cumulative de la boucle. Le lieu et surtout le temps de l’exposition sont donc très importants. Ils vont influer sur les images, qui seront fonction du choix de la chaîne de télévision diffusée et de l’heure de diffusion, donc de l’émission-source. Chaque lieu et chaque temps d’exposition rendant compte de leur propre temporalité médiatique. Le renouvellement infini des images diffusées par le flux télévisuel va aussi permettre aux spectateurs de revenir voir cette œuvre plusieurs fois et de se trouver chaque fois face à de nouvelles propositions. L’œuvre ouverte se redéfinit ici en fonction de la diversité et de la multiplicité de ses points de vue (et non de ses multiples appropriations possibles).

Lambeaux s’affirme donc avant tout comme une installation vidéo « située », en lien avec la réalité médiatique du spectateur. Elle a été présentée dans différentes expositions. Mais on verra que le format GIF a permis son exposition hors sol et hors temps médiatique, c’est-à-dire sans lien avec l’actualité du lieu d’exposition (cf. ci-dessous RE/Mixed Media Festival au Brooklyn Lyceum à New York, 2012, U.S.A.). Cette situation accidentelle, voire anachronique, pour Lambeaux déterminera le développement de Loops et Wall trope.

Figure 93. Lambeaux – Rugby, France 2, le 17 mars 2012, Le Hublot, Nice, France (BOILLOT, Nicolas, 2012)

Lambeaux a ainsi été exposée dans plusieurs endroits et sous des formes différentes :

- La première représentation s’est déroulée dans la salle d’exposition du centre de création numérique Le Hublot, à Nice (2012, France). Lambeaux s’est exprimée à partir de la chaîne France 3, chaîne locale de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur durant la deuxième quinzaine du mois de mars.

Figure 94. Lambeaux – Croquis préparatoire pour l’installation vidéo. Météo, TF1, à La Gare à Coustellet, France (BOILLOT, Nicolas, 2012)

- Lambeaux a aussi été présentée en mai 2012 dans l’émission de télévision l’Œil de links5) de Canal +, puis repris dans l’émission Le Zapping6) (du jour, puis de la semaine). Bien que cela s’apparente plus à une retombée presse de mon travail, il me semble amusant de la citer ici, dans la mesure où cette présentation est une sorte de mise en abyme de mon intention, Lambeaux détournant les flux télévisuels et devenant lui-même partie intégrante de ce flux télévisuel. - Lambeaux a été exposée durant deux mois d’été dans la salle d’exposition du centre culturel La gare à Coustellet (2012, France), et ce à partir de plusieurs chaînes locales. Cette salle d’exposition se transforme chaque week-end en un lieu de convivialité au milieu d’un marché paysan. On a vu avec l’analyse de SamplTV, que l’œuvre tentait de rompre la distance verticale avec le public. Il me paraissait important de signaler ce changement de contexte d’exposition le dimanche, car le public, venu à la base pour acheter des produits alimentaires, va se retrouver, malgré lui, face à l’œuvre et vivre une expérience singulière. - Lambeaux a été commanditée par le RE/Mixed Media Festival au Brooklyn Lyceum à New York (2012, U.S.A.). Mais les dates de l’exposition ont coïncidé avec le passage de l’ouragan Sandy7). J’ai dû renoncer à me rendre in situ pour mettre en place l’installation vidéo. J’ai donc proposé aux organisateurs du festival d’exposer une série de GIF réalisés avec Lambeaux. C’est dans ce cadre que j’ai utilisé pour la première fois Pinacotek. Je noterai aussi en passant qu’Eduardo Navas, théoricien principal du remix artistique, participait aussi à ce festival en tant que conférencier et que cela m’a permis d’échanger utilement avec lui. - Lambeaux a été présentée dans le cadre du festival Vision’R #8, à La Rotonde, à Paris (2013, France) et ce, une soirée durant la durée du festival, en parallèle à d’autres performances audiovisuelles. J’ai utilisé les chaînes de télévision parisiennes. - Pour finir, Lambeaux a été exposée à la galerie Ori à Berlin (2013, Allemagne), pendant une semaine. J’ai utilisé cette fois-ci les chaînes de télévision allemandes.

Lambeaux a pu ainsi s’exprimer selon différents cadres, temps et lieux : physiques, culturels et télévisuels, proposant une expérience toujours inédite, dépendante du flux télévisuel capté in situ.

- Lambeaux, une étape vers d’autres développements

Je conclurai en rappelant que Lambeaux n’est qu’une première étape de mon expérimentation. Certes, elle a permis, comme prévu, d’exprimer toutes les potentialités du concept de SamplTV. Ce faisant, elle a aussi mis en évidence toute l’exigence technique, mais aussi le plaisir associé à la création des « contraintes créatives » centrales dans l’histoire de l’art du XXe et XXIe siècle, notamment dans les œuvres de remix. Ceci aura une influence forte sur l’évolution de mon travail avec Loops. Je mettrai cela aussi en relation avec l’absence d’interactivité de cette œuvre, qui redonne une place centrale à l’artiste auteur, a contrario de la plupart de mes autres œuvres. Cela ouvrira la voie, on l’a dit, à la deuxième intention de cette série : privilégier le plaisir de l’artiste, le plaisir de l’interactivité, de la créativité et de la manipulation offerts par la création numérique. Une intention qui s’affirmera dans Loops et Wall trope.

Lambeaux a aussi contribué à représenter et à interroger plus profondément notre rapport au temps au fil d’une œuvre ouverte, aux temporalités plurielles ; l’hyperfragmentation de l’information s’affrontant directement avec son miroir temporel télescopé et circulaire. Cet axe restera présent dans la suite de cette série, notamment grâce à la systématisation du GIF, comme principe de création.

Figure 95. Lambeaux – Le Plus Grand Cabaret du monde, France 2, le 17 mars 2012, Le Hublot, Nice, France (BOILLOT, Nicolas, 2012)

Lambeaux renvoie au phénomène d’émergence (cf. II.c.i). Au regard de la théorie, la complexité de son processus de création a tendance à manifester un degré d’émergence assez fort du fait de l’imprévisibilité induite par les règles du processus, qui va dépendre de ce qui est diffusé. En effet, on peut constater que, d’une part le matériau utilisé, ici la télévision en direct, va renforcer le côté éphémère de chaque image, et d’autre part, la temporalité de chaque fragment va dépendre de ce qui va être diffusé par la suite. Enfin, chacun de ces fragments va être présent et répété, jusqu’à ce qu’un autre le recouvre dans l’espace et le temps, exprimant ainsi la temporalité hypnotique et circulaire de notre rapport à l’information. Autant de facteurs qui vont influer sur la composition finale et faire émerger une série « d’accidents », de manière semi-automatisée. Car, même si cette installation vidéo peut être exposée de manière autonome, il m’est possible de faire varier fortement les règles de composition. C’est ce qui influencera d’ailleurs mes deux prochaines œuvres. Cette fragmentation et cette imprévisibilité font alors émerger des narrations inédites. Car, on a vu que le fait d’analyser les images à un extrême niveau de précision, pixel par pixel, et ensuite de les accumuler avec cette même précision, permet d’accentuer encore plus la distanciation des éléments extraits et capturés de leurs sources. Je m’approche donc ici de la frontière entre un plagiat et une œuvre transformative, sans toutefois la traverser. Cette nouvelle configuration commence à entrer en conflit avec la représentation du matériau original. On est à la frontière de la définition du remix de Navas, c’est-à-dire une œuvre qui garde apparentes les traces de son histoire. Or la troisième intention de ce moment de « création > recherche » est d’aller plus loin sur ce chemin et de repousser les limites admises du remix réflexif, c’est-à-dire de ne plus être attaché à sa portée référentielle. On va le voir dans le chapitre suivant avec Loops et Wall trope, les variations de degré de distanciation vont me permettre d’aller jusqu’à la dissolution complète de la référence à la source. Lambeaux est donc bien une œuvre médiatrice entre mon travail passé et ma création présente. Elle installe les soubassements du dispositif et des intentions de Loops et de Wall trope.


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1)
BOILLOT, Nicolas. Lambeaux [en ligne]. 2012. [Consulté le 26 mai 2013]. Disponible à l’adresse : https://www.fluate.net/travaux/lambeaux/.
2)
Du point de vue de la vitesse d’exécution des différents calculs nécessaires au fonctionnement du programme.
3)
Le bloc SamplTV est fait pour Eyesweb 3 qui repose sur le Cplusplus. Eyesweb 5, la version du logiciel en 2016, repose sur le Framework .NET [en ligne]. [S. l.] : [s. n.], 1 avril 2016. [Consulté le 21 juin 2016]. Disponible à l’adresse : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Framework_.NET&oldid=124897837. Page Version ID: 124897837.
4)
BOILLOT, Nicolas. Pinacotek [en ligne]. 2013. [Consulté le 26 mai 2016]. Disponible à l’adresse : https://www.fluate.net/code/pinacotek/.
5)
Lambeaux – L’oeil de links – Canal + [en ligne]. [s. d.]. [Consulté le 23 juin 2016]. Disponible à l’adresse : https://www.fluate.net/news/lambeaux-loeil-de-links/.
6)
Lambeaux dans le Zapping de Canal + le 1er mai 2012 [en ligne]. [s. d.]. [Consulté le 23 juin 2016]. Disponible à l’adresse : https://www.fluate.net/news/lambeaux-in-the-zapping-the-1st-of-may-2012/.
7)
Ouragan Sandy [en ligne]. [S. l.] : [s. n.], 3 juin 2016. [Consulté le 21 juin 2016]. Disponible à l’adresse : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ouragan_Sandy&oldid=126747325. Page Version ID: 126747325.